Dans son sermon du 07 janvier 2022, Sa Sainteté le Calife a présenté des récits sur les bénédictions découlant des sacrifices finanicers.

Sermon du vendredi 07 janvier 2022, prononcé par Sa Sainteté le Calife, Hadrat Mirza Masroor Ahmad, à la mosquée Moubarak, à Islamabad, Tilford au Royaume-Uni. Après le Tashahoud, le Ta’awudh et la Sourate Al-Fatiha, Sa Sainteté le Calife cité le verset 266 du chapitre 2 du Coran. Il a ensuite déclaré :

La traduction de ce verset est comme suit : « Et le cas de ceux qui dépensent leurs biens pour chercher le plaisir d’Allah et pour fortifier leur âme est pareil à celui d’un jardin situé sur un coteau. La pluie abondante tombe dessus, le faisant rapporter des fruits doublement. Et si une grosse pluie ne l’arrose pas, alors une pluie fine suffit. Et Allah voit bien tout ce que vous faites. » (2 : 266)

Dans ce verset, Allah décrit les dépenses des croyants dans Sa voie dans l’espoir de mériter Son plaisir. Il s’agit de personnes qui, suite au commandement de Dieu, dépensent dans Sa voie, tout d’abord pour mériter Son plaisir et deuxièmement afin de renforcer leur nation et leur mission. À notre époque, la mission de la diffusion des préceptes de l’islam et de sa prédication a été confiée au Messie Promis (a.s.). Il incombe à ses suivants de sacrifier leur vie, leurs biens et leur temps pour accomplir sa mission. À toute époque et dans toutes les nations, les prophètes ont encouragé leurs disciples à consentir à des sacrifices financiers. De même, le Messie Promis (a.s.) nous a aussi enjoint d’offrir une partie de nos biens dans la voie divine pour servir la religion : ceci mettra en évidence l’authenticité de notre foi. Certainement le croyant consent à des sacrifices financiers pour la religion. L’objectif de ces sacrifices n’est pas d’accorder quelque faveur à autrui : leur unique désir est d’attirer le plaisir de Dieu, d’accorder la constance à leur âme, de renforcer leur foi et piété, de favoriser le progrès de leur nation, et de soutenir, dans la mesure du possible, les faibles grâce à leurs biens. Par ce faire nous souhaitons atteindre le but pour lequel nous avons prêté allégeance à l’Imam de l’époque et le serviteur parfait du Saint Prophète Muhammad (s.a.w.). Pareilles gens dépassent leurs pensées égoïstes : leur Nafs les pousse à consentir à des sacrifices afin de mériter le plaisir de Dieu. Ensuite, ils atteignent les sommités des sacrifices ; ils s’efforcent de ce faire. Allah accepte les sacrifices de pareilles gens. Il leur accorde Ses faveurs. Allah connaît l’état de nos cœurs et nos intentions : c’est pour cette raison qu’Il ne regarde pas si la somme dépensée est grande ou petite. Il récompense en accord aux intentions.

C’est pour cette raison que dans ce verset Allah déclare que ceux qui dépensent dans Sa voie tombent dans deux catégories : premièrement, celle dite Wabil, une pluie abondante ; et deuxièmement, celle dite Tall, une pluie fine ou de la rosée. Les nantis dépensent davantage dans la voie de Dieu ; ils peuvent le faire. Mais le pauvre peut nourrir ce désir ou se dire : « Le nanti augmente ses sacrifices et mérite le plaisir de Dieu en sacrifiant des sommes importantes. Il a mérité Sa proximité, ou [du moins,] il tente de ce faire et la méritera. Moi je n’ai presque rien : comment pourrai-je atteindre son niveau ? »

Or, Allah déclare qu’une pluie fine ou même de la rosée profite à une terre fertile ; de même, le peu de sacrifice d’une personne [moins] aisée ressemble à cette pluie fine. La somme modique qu’il a offerte portera ses fruits. C’est Allah qui fait fructifier les sacrifices. Il fera fructifier chaque action. Allah connaît votre situation et vos intentions : Il fera doublement fructifier, voire plus, vos petits sacrifices.

Une fois le Saint Prophète Muhammad (s.a.w.) a déclaré : « Aujourd’hui, un dirham a dépassé cent mille dirhams. » Les compagnons ont demandé : « Ô Messager d’Allah ! Comment cela s’est-il produit ? » L’Envoyé d’Allah (s.a.w) a dit : « Un homme qui possédait deux dirhams en a sacrifié un. Un autre, qui était richissime, a sacrifié cent mille dirhams de ses biens. Son sacrifice de cent mille dirhams était bien inférieur à sa richesse. Ainsi, Allah fait fructifier les intentions et les actes selon les circonstances. Il a également rassuré les pauvres : « Ne pensez pas que les [sommes] modiques que vous sacrifiez n’ont aucune valeur. Ces petits sacrifices renforcent d’une part votre foi, et d’autre part contribuent à renforcer la Jama’at. »

Ce sont les sacrifices consentis uniquement pour la cause de Dieu avec passion qui attirent Ses faveurs.

Allah veille sur chacune de nos actions. Nous devons toujours garder à l’esprit que tout acte doit être accompli pour le plaisir d’Allah. C’est en nourrissant ces sentiments que l’on méritera véritablement les bienfaits d’Allah.

À l’époque du Messie Promis (a.s.), la plupart de ses disciples étaient des gens pauvres mais leurs sacrifices étaient si importants, qu’une fois le Messie Promis (a.s.) les a loués en ces termes : « Il existe des centaines de personnes dans notre Jama’at qui possèdent à peine de quoi se vêtir : ils arrivent difficilement à trouver un bout de tissu [pour se couvrir] ou un pantalon à porter. Ils ne possèdent aucun bien : mais leur sincérité sans pareille, leur loyauté, et l’amour émanant de leur personne de temps à autre ou visible sur leurs visages me laisse bouche-bée. Ils sont si fermes dans leur foi et leur conviction et si sincères et loyaux que si les esclaves des richesses matérielles et les amoureux de ces plaisirs mondains prenaient conscience de ce plaisir, ils seraient prêts à tout donner pour l’acquérir. »

Le Messie Promis (a.s.) explique ailleurs : « Nous constatons des progrès significatifs dans la sincérité et l’amour des membres de cette Jama’at. Parfois, je suis moi-même surpris et émerveillé par la sincérité, l’amour et l’enthousiasme de la Jama’at ; et même les ennemis en sont étonnés. »

Le progrès dans la fidélité, la sincérité et l’enthousiasme ainsi que la passion extraordinaire de la foi se manifestent encore aujourd’hui dans les membres de la Jama’at du Messie Promis (a.s.). Voire les nouveaux convertis, ayant à peine été formés, ont accompli des progrès dans la sincérité et la loyauté qui nous laissent bouche bée. En peu de temps, ils ont accompli d’immenses progrès. Leur amour pour le Messie Promis (a.s.), et aussi leur sincérité et leur loyauté à l’égard du Califat, sont importants tant et si bien que même l’ennemi s’en étonne, comme l’affirme le Messie Promis (a.s.) : ils se demandent ce qui a bien pu apporter ce changement. Il s’agit certainement de la grâce spéciale d’Allah qu’Il leur a accordée après avoir vu leur bonne nature et leur vertu. Le témoignage de cette bonne nature, le respect du serment d’allégeance et l’expression de loyauté envers le Calife se manifestent dans leurs paroles et leurs actes.

Aujourd’hui, tandis que le monde est plongé dans le matérialisme, ces gens tentent de se surpasser les uns les autres dans les sacrifices financiers afin de gagner l’agrément d’Allah : ils ont en effet compris que dépenser dans la voie d’Allah est moyen d’obtenir Son plaisir. Qui osera dire que cette Jama’at établie par le Messie Promis (a.s.) en accord aux promesses de Dieu s’affaiblit de jour en jour ? Cette Jama’at a été établie pour le progrès et pour avancer : aucune attaque de l’ennemi ne pourra toucher un seul de ses cheveux. Par la grâce d’Allah, elle est florissante.

Je vais présenter quelques incidents dans le contexte du sacrifice financier et démontrerai comment les gens consentent à des sacrifices et expriment ainsi leur foi et leur certitude ; et comment Allah renforce leur conviction.

La Sierra Leone est une région de l’Afrique : il s’agit ici d’un homme habitant une partie reculée [de ce pays]. Le missionnaire relate qu’il était parti en tournée à la fin du mois. Il a rappelé aux membres d’une Jama’at réunis dans la mosquée à propos des cotisations dans le fonds du Waqf-i-Jadid. Le Cheikh Outhman, l’imam, lui a confié les cotisations des membres en ajoutant qu’ils n’avaient pas pu récolter la somme promise. « Nous souhaitons sincèrement atteindre notre objectif et tenir notre promesse. Mais nous n’avons pas les ressources pour le moment. » Sur ce, il a demandé au Mou’allim de faire une prière collective. Le missionnaire local relate : « J’ai dirigé la prière et tout le monde a dit « Amîn » à haute voix. Puis, je suis remonté sur ma moto et je suis venu à la mission. Je n’avais pas encore atteint la maison quand j’ai reçu un appel du même imam qui m’informait qu’il souhaitait me rencontrer. J’en étais très surpris car je venais à peine de rentrer de là-bas quand j’ai reçu cet appel. Quand l’imam local est venu me voir, il a relaté ceci : « Nous avions prié et peu de temps après un de mes parents est venu et a mis sa main dans sa poche et m’a offert cent mille Leonnes en me demandant de prier pour une affaire quelconque. En voyant cela j’ai déclaré « Allahou Akbar ! » à haute voix. L’autre était étonné et se demandait ce qui se passait. Je lui ai dit : « Nous avions fait une promesse de cotiser [telle somme] dans le fond Waqf-i-Jadid et qu’il restait une somme à débourser. Nous venions à peine de prier, qu’Allah t’a envoyé avec cette somme. » L’Imam Cheikh Outhman a offert toute la somme de cent mille Leonnes dans le fonds Waqf-i-Jadid. Ce montant était très important pour eux, bien qu’il soit modique pour nous. Si nous le convertissons, cela ne fera que six livres (sterling) et demie. Mais c’était un très grand sacrifice de leur part, sacrifice qui attire les faveurs divines. Il a offert toute la somme qu’il a reçue : ceci prouve leur sincérité. Ils en ont aussi besoin mais n’ont rien gardé pour eux. Ils l’ont déposée immédiatement : ce sont ces exemples où un dirham dépasse cent mille dirhams. Certainement, Allah a dû les regarder avec amour.

Cette norme de sacrifice ne se restreint pas à un seul lieu ou uniquement aux hommes : on la constate aussi chez les femmes.

Le Tchad est un pays [d’Afrique]. Le missionnaire [au Tchad] relate ce qui suit. Par la grâce d’Allah il s’y trouve aussi un grand nombre de personnes sincères, au sein de la Jama’at. La majorité des membres de la Jama’at du Tchad comprend des nouveaux convertis.

Une dame du nom d’Oumm Hani avait promis la somme de soixante-dix mille francs pour le fonds Waqf-i-Jadid. Elle n’a pas trouvé la somme mais disposait d’un chameau qu’elle a vendu pour cent soixante-dix mille francs. Elle a cotisé la somme promise dans le fonds Waqf-i-Jadid et n’a pas gardé l’argent restant mais l’a également offert dans divers fonds.

Le Togo est un autre pays [d’Afrique]. Il s’y trouve un ahmadi du nom d’Ibrahim qui fait paître les animaux et les chèvres des autres et sacrifie dans une grande mesure ce qu’il gagne. Il avait fait une promesse qu’il n’avait pas pu tenir. Or, une rivière se trouve à proximité et on en extrait du sable. Il a commencé à travailler la nuit et a rempli deux camions de sable puis a fait don du salaire qui en provenait dans le fonds Waqf-i-Jadid. Pourquoi a-t-il travaillé si dur ? Après tout ce travail acharné, il n’a pas gardé d’argent pour lui uniquement parce qu’il comprend qu’il est nécessaire de gagner le plaisir d’Allah.

Il n’est pas question exclusivement des hommes, des femmes ou des personnes âgées. Il en va de même pour les jeunes. Le Belize est un pays d’Amérique centrale situé à des milliers de kilomètres de là. Aucun Calife ne s’y est rendu jusqu’ici. Tous les ahmadis qui s’y trouvent sont des nouveaux venus. Mais ils sont tous animés du même sentiment. Qu’il s’agisse de l’Afrique, de l’Amérique, des îles ou de l’Asie : la pensée est la même ; et c’est là la révolution apportée par le Messie Promis (s.a.). Un jeune de quatorze ans a contribué dans le fonds Tahrik-i-Jadid : j’en avais fait mention ici. Les gens l’ont félicité et quelqu’un du Canada lui a envoyé deux cents dollars en cadeau en raison de ses sacrifices. Voyez la condition de cet enfant de quatorze ans. S’il était d’ici, il aurait immédiatement acheté des jeux avec la somme. Il a dit : « J’avais besoin de trente dollars pour ma carte de Sécurité sociale. J’ai donc gardé cette somme et j’offre les cent soixante-dix dollars restants. » Il est issu d’une famille pauvre. On lui a demandé avec insistance de la garder pour lui et pour ses propres dépenses. Mais il a insisté sur [le désir de] tout cotiser. Ceci est l’esprit de « préférer la foi à ce monde ». Qu’Allah fasse que cet enfant soit toujours animé de ces sentiments et qu’Il le protège du matérialisme.

La Jamaïque est un autre pays où se trouve un jeune du nom de Yaseen. Le précédent se prénomme Danial et celui-ci Yaseen. Il est au chômage depuis longtemps. Il vendait des friandises comme des bonbons et des chocolats dans les rues : or, en dépit de sa situation, il se souciait de ses sacrifices financiers : « J’ai promis de cotiser dans le fonds Waqf-i-Jadid mais l’année touche à sa fin et je n’ai plus rien. » Un soir, à la fin du mois de décembre, il est venu chez le missionnaire et a déclaré qu’aujourd’hui il a récolté quatre cents dollars jamaïcains : « J’en déduis vingt-cinq pour cent et j’offre cent dollars dans le fonds Waqf-i-Jadid. »

Voyez l’exemple extraordinaire de la sincérité et de la loyauté d’un ahmadi d’un pays pauvre et ce grand exemple de la quête du plaisir et de l’amour d’Allah. On dit qu’il s’agit de gens illettrés et sont pauvres. Mais ces gens possèdent une plus grande connaissance de la religion que les gens instruits et ils sont riches du cœur.

La Guinée Conakry est un pays d’Afrique. Le missionnaire qui en a la charge déclare qu’au cours des dix derniers jours de l’année du Waqf-i-Jadid, il a prononcé un sermon sur son importance et ses bénédictions. Il a cité des extraits de mes différents sermons et a encouragé les membres de la Jama’at à consentir à des sacrifices. Il raconte qu’à la fin du sermon, M. Moussa, un ahmadi indigent mais très sincère, a sorti de l’argent de sa poche soit environ 218 500 francs guinéens, et l’a cotisé dans le fonds Waqf-i-Jadid. Je lui ai demandé la raison de cette une somme importante ; il en avait offerte une toute aussi importante l’année dernière. Il a déclaré : « La parole du Calife s’est enracinée dans mon cœur, notamment que deux amours ne peuvent coexister dans un seul cœur : soit on aime Dieu, soit ses biens. C’est pourquoi je tente de le manifester par mes actes chaque fois que j’en ai l’occasion. » Il a déclaré : « Ma foi ne peut pas être comme celle de Son Éminence Abou Bakr Al-Siddiq (qu’Allah l’agrée) pour offrir toute ma richesse dans la voie d’Allah. Mais je peux offrir tout l’argent de ma poche dans la voie d’Allah et je vous demande aussi de prier qu’Allah m’accorde une foi comme celle d’Abou Bakr (r.a.). La deuxième grande raison est que ma foi a également commencé à grandir depuis que je consens à des sacrifices financiers. Ma foi s’en est retrouvée renforcée et je sens un changement extraordinaire en moi. »

Ce sont là des sentiments et une compréhension que l’on ne rencontre pas chez de nombreuses personnes instruites.

Voici un autre incident sur la manière dont Allah, le Tout-Puissant, accroît la foi [des gens]. La Guinée Conakry est un pays où se trouve un ahmadi sincère et assez nanti du nom d’Al-Hassan. Il est un homme d’affaires. Il relate qu’il avait placé sa contribution dans une enveloppe qu’il avait posée sur sa table et n’avais pas pu l’envoyer à la mission en raison de son emploi du temps chargé. « Quand je m’en suis souvenu soudainement j’ai donné l’argent à mon chauffeur pour qu’il fasse le paiement à la mission. Je suis sorti pour un autre travail. Pendant ce temps, le bureau voisin a pris feu et a été réduit en cendres. J’ai reçu plusieurs appels et les gens disaient que mon bureau est en feu. J’y suis retourné rapidement en me disant comment cela était possible en mon cas, moi qui contribue pour l’amour d’Allah. Mais voyez le signe d’Allah et comment Il a tenu Sa promesse : en dépit du fait que mon bureau partageait le mur du bureau incendié, le mien était sauf. J’avais [en outre] une grosse somme appartenant à l’entreprise dans ce bureau. »

Deux bureaux attenants ont été incendiés mais le sien était sauf. Il ajoute : « Je me suis immédiatement dit qu’il s’agissait bien d’une bénédiction de cette cotisation. »

Ce sont aussi des gens doués de connaissance.

Il déclare : « Je me suis aussi souvenu de la révélation reçue par le Messie Promis (a.s.) notamment : « Le feu est ton esclave et même l’esclave de tes esclaves. » C’est ainsi qu’Allah, le Tout-Puissant, a protégé un humble esclave du Messie Promis (a.s.) de toute perte.

L’Amir Sahib de la Gambie relate : « Un Mou’allim d’une région relate l’incident suivant concernant un membre de sa Jama’at du nom de Sambou Ba. Quand il a entendu mon sermon de l’année dernière sur le Waqf-i-Jadid et que j’ai annoncé la nouvelle année en citant divers récits, il a payé cinq cents Dilasi. Allah l’a béni que sa récolte a doublé cette année. Il avait promis cinq cents Dilasi, mais en a cotisé mille. Puis, grâce aux revenus des récoltes, il offrait dix ballots de mil comme Zakat. Cette année, ils avaient fait une telle récolte qu’il en a offert cinquante ballots. De même il a offert deux ballots de cacahuètes en guise de Zakat. Ces ahmadis qui sont réguliers dans leurs cotisations ont eu une meilleure récolte qu’avant. Les non-ahmadis disent que la Jama’at Ahmadiyya doit être spéciale car chaque fois que ses membres dépensent dans la voie d’Allah, leurs récoltes augmentent. »

Ces exemples des sacrifices ne sont pas présents uniquement chez les nouveaux convertis ahmadis d’Afrique ou de certains pays pauvres ; on en voit aussi des exemples chez les autochtones dans les pays riches qui ont été bénis par la foi. Un missionnaire d’Allemagne relate qu’on avait encouragé les membres de la Jama’at de Reidersheim d’augmenter leurs dons et de combler leurs manques. L’épouse du président est une Allemande de souche et très sincère. Quand on l’a informée qu’on souhaite que sa Jama’at augmente sa contribution afin que sa Jama’at soit comptée parmi les grands donateurs, cette dame allemande a offert 19 000 euros : elle est certes une convertie mais avait embrassé l’Ahmadiyya depuis un certain temps. Elle a déclaré qu’elle avait économisé cette somme pour acheter sa voiture, mais elle souhaitait ardemment que le nom de sa Jama’at soit présenté au Calife. « J’ai offert cette somme pour cette raison et afin que je puisse obtenir l’agrément d’Allah, le Tout-Puissant. »

Un étudiant en Allemagne avait promis d’offrir cinq cents euros. Ses parents lui ont demandé où il trouvera cette somme. Il a répondu qu’il le fera d’une manière ou d’une autre. Il déclare : « J’ai reçu la réponse immédiatement par Allah. Après une semaine, j’ai reçu un appel de l’université qui disait qu’elle avait sélectionné quarante étudiants qui recevront des bourses. On lui a demandé d’envoyer son numéro de compte bancaire afin qu’on puisse lui envoyer l’allocation de mille euros. Ainsi Allah m’a donné le double. »

Voici un exemple du Royaume-Uni. Un membre de [la Jama’at de] Balham relate : « Nous n’avions pas atteint la somme promise du Waqf-i-Jadid. J’ai payé un supplément, mais il y avait encore un manque à gagner. Dans un premier temps, j’ai reçu une lettre de la mairie locale demandant une somme importante concernant les frais de service. Je réfléchissais à ce propos quand j’ai également reçu un message du Waqf-i-Jadid. J’ai cotisé en premier dans le fonds Waqf-i-Jadid. Le lendemain j’ai reçu une lettre d’excuse de la mairie disant qu’ils avaient envoyé une lettre de réclamation par erreur après avoir fait l’ajustement ; la mairie a constaté que je ne lui devais aucune somme mais c’était elle qui me devait de l’argent. Cette somme était dix fois plus importante que celle que j’avais cotisée dans le Waqf-i-Jadid. »

Allah retourne ces sommes afin de renforcer la foi.

Voici un autre exemple de la récompense immédiate de Dieu, qui nous vient de l’Inde. A la fin l’année du Waqf-i-Jadid, l’inspecteur est parti dans la Jama’at de Yadgir pour faire un rappel. Il est parti voir un jeune et lui a parlé à propos des cotisations. Il a répondu : « Je n’ai que quinze cent dans la poche que je dois donner coûte que coûte à quelqu’un. Vous m’avez demandé de cotiser dans le Waqf-i-Jadid et je me demande quoi faire. Si je vous fais un don, comment vais-je payer cette personne ? Je n’ai pas d’autres ressources dans l’immédiat. Mais en tout cas, peu importe, je vais cotiser. » Il a payé les quinze cents roupies et ensuite il est parti. Le lendemain, le secrétaire Waqf-i-Jadid et moi-même nous sommes rendus dans son magasin. Il a fait sorti une somme de sa poche et en a fait un tas. Il a expliqué : « Hier quand je suis rentré chez moi après avoir cotisé, j’ai reçu de l’argent d’ici et de là et aujourd’hui j’ai plusieurs milliers de roupies que les gens me devaient. » C’est ainsi qu’Allah l’a béni.

Il y a aussi des récits de personnes nanties qui, aux yeux du monde, ne sont pas riches, mais le sont eu égard à la Jama’at. Une personne de Karolay a offert un million de roupies. Son épouse était chrétienne et s’est convertie à l’Ahmadiyya : elle est très assidue dans ses prières et très sincère. Les deux époux sont aussi des Moussis.

[L’inspecteur relate] : « Quand nous nous sommes rendus chez eux, l’épouse a offert un chèque de 500 000 roupies. Je lui ai dit : « Votre mari vient d’offrir un million de roupies et voici que vous êtes en train d’offrir une somme supplémentaire. »

Elle a répondu : « Toutes les bénédictions que nous avons reçues sont dues aux cotisations. C’est pour cette raison que nous souhaitons cotiser encore et encore. Grâce à cela, notre entreprise grandit. Nous ne reculerons jamais dans ce domaine. »

À présent, c’est le missionnaire du Mali qui écrit : « Nous avons fait une émission à la radio de la Jama’at de la ville de Kai sur le thème du sacrifice financier et de l’importance du Waqf-i-Jadid et ses objectifs. Par la suite, nous avons visité différentes Jama’at qui, selon leurs moyens, ont participé dans ces sacrifices. Un nouveau converti a déclaré : « Quand j’ai entendu parler de la collecte de fonds, je n’avais pas l’argent à offrir dans le chemin d’Allah. J’ai décidé que j’offrirais également quelque chose à Jama’at Ahmadiyya et que je ne resterais pas en arrière. Je suis parti dans la campagne et j’ai ramassé beaucoup de bois sec. Puis, j’ai fabriqué du charbon à partir de ce bois et l’ai ensuite apporté dans mon village. » Quand la délégation de la Jama’at est passée chez lui, il a offert vingt sacs de charbon. Ce pauvre a fait ce qui était en son pouvoir. En tout cas, ces vingt sacs coûtaient cinquante mille francs. Il se dit très heureux d’avoir participé lui aussi au sacrifice financier.

Un ahmadi de la Pologne écrit : « Le missionnaire nous a encouragé à contribuer dans le fonds du Waqf-i-Jadid à la fin de l’année. J’avais environ cent złoty, la monnaie polonaise. » La Jalsa Salana de Qadian avait lieu le même jour, soit le 24 décembre. Il souhaitait écouter mon discours et mais son forfait mobile était épuisé. Comment écouter ce discours, se disait-il. Il souhaitait ardemment le faire.

Il relate : « J’ai pris un forfait de vingt złotys et à raison de vingt-huit złotys par personne, j’ai cotisé au nom de mon fils et de ma femme. J’ai décidé que nous n’achèterons rien durant les jours restants et que nous nous contenterons de ce que nous avons à la maison. J’avais le désir d’offrir plus si j’avais plus d’argent. Nous avons prié et Allah nous a accordé Sa grâce. Le 28 décembre, alors que je rentrais du travail, un ami qui me devait douze złotys me les a remboursés. Lorsque je suis rentré et que j’ai vérifié mon compte, de différentes sources 1290 złotys se trouvaient sur mon compte. L’usine où je travaillais depuis trois ans n’avait jamais payé de somme supplémentaire. Cet argent a été transféré sur mon compte en raison du Waqf-i-Jadid. J’ai eu treize cents złotys. J’ai cotisé trois cents złotys. Allah m’a accordé Sa grâce sous un autre angle. Le salaire de mon fils augmente une fois par an en octobre ou novembre. En octobre de cette année, son salaire a été augmenté une fois, mais le 31 décembre, son salaire a été augmenté à nouveau. Cela a également agrandi notre foi. »

Les nouveaux convertis d’une Jama’at de la région de Shinga en Tanzanie rejoignent lentement le système financier. Le Mou’allim écrit qu’un certain M. Ramadan a prêté le serment d’allégeance l’année dernière. Il avait fait une promesse dans les fonds Tahrik-i-Jadid et Waqf-i-Jadid selon ses moyens. Avant la fin de l’année, il a payé deux fois plus que promis avant la fin. À une autre occasion, il a également offert un terrain à la Jama’at au nom de sa famille. Les autres habitants de son village ont été très étonnés : certains lui ont dit en plaisantant qu’il mettrait fin à ses biens dans la voie de la religion. Mais il a dit au Mou’allim que ce n’est qu’en rejoignant l’Ahmadiyya qu’il a compris l’importance du sacrifice financier. Il explique que depuis qu’il a commencé à sacrifier dans le chemin d’Allah, son travail a été amplement béni. Les autres peuvent dire ce qu’ils veulent, mais cette année il a pu acheter d’autres terrains et bâtir deux nouvelles maisons. Tout cela est le fruit des sacrifices dans la voie d’Allah et d’avoir offert un terrain à la Jama’at. »

Voici un récit de la Sierra Leone démontrant comment les nouveaux venus progressent dans leur foi et la sincérité. Jibril Sahib, le missionnaire de Port-Loco relate : « On a encouragé un nouveau converti à cotiser dans le fond Waqf-i-Jadid. Il s’agit en fait d’une nouvelle Jama’at comprenant des nouveaux convertis. Il relate : « Une vieille femme aveugle est venue me voir avec le soutien d’un enfant. Elle m’a dit : « Je n’ai pas fait de promesse, mais je suis venue offrir ces deux milles Leonnes dans le fonds Waqf-i-Jadid. » Le missionnaire lui a demandé : « Pourquoi vous êtes-vous dérangée ? Je serais venu en personne. »

Écoutez la réponse de cette vieille femme pauvre et apparemment illettrée. Elle a répondu : « Je suis venue offrir une somme modique : souhaitez-vous que je vous demande de venir chez moi pour la récupérer ? Je veux obtenir la récompense entière. C’est pour cette raison que suis venue l’offrir moi-même. »

Le missionnaire de la ville de San Pédro de la Côte D’Ivoire écrit : « Un membre de la communauté qui se prénomme Coulibaly m’a téléphoné au cours du mois du Ramadan au sujet de la cotisation dans le fond Waqf-i-Jadid. Il m’a demandé : « Est-il important de payer ses cotisations durant le mois de Ramadan ou d’en augmenter le montant ? » Je lui ai répondu que durant le mois de Ramadan, la pratique du Saint Prophète (s.a.w.) et du Messie Promis (a.s.) était de dépenser davantage dans la voie d’Allah, et je l’ai informé de l’importance de le faire. Je l’ai également informé que les cotisations du Waqf-i-Jadid et du Tahrik-i-Jadid sont dépensées pour la propagation de l’islam. J’ai ajouté qu’il ne s’agit pas d’une cotisation obligatoire mais qu’il faut, à la hauteur de ses moyens, cotiser le plus possible dans les fonds financiers pendant le mois du Ramadan. Sur ce, cette personne qui cotisait déjà vingt mille francs mensuellement, a promis qu’en plus de cette cotisation obligatoire, elle cotiserait tous les mois trente mille francs supplémentaires, et pas seulement durant le mois de Ramadan ; et a demandé que cette somme soit dédiée principalement aux fonds de Waqf-i-Jadid et Tahrik-i-Jadid. Le monsieur a également promis que d’ici la fin de cette année il essaierait d’augmenter Incha Allah le montant de cette cotisation supplémentaire dédiée au Waqf-i-Jadid. » Il ajoute : « Par la grâce d’Allah, depuis le mois du Ramadan et jusqu’à ce jour, cette personne qui est soucieuse de ses cotisations, se présente d’elle-même pour payer ses cotisations obligatoires en début de mois. »

J’ai évoqué la propagation de l’islam. En ce qui concerne les dépenses, je souhaite également mentionner qu’au cours de l’année écoulée, Allah a permis à la communauté de bâtir 187 mosquées ; et 105 mosquées sont en cours de construction en Afrique. De même, 144 missions ont été établies, dont la majorité se situe en Afrique, et 45 sont en cours de construction. Là où nous ne pouvons établir une mission immédiatement, nous louons un bâtiment. Dans les pays africains, nous louons 731 missions ou hébergements de missionnaires. Dans les pays asiatiques, nous louons aussi 632 missions. Je souhaite préciser que la majorité des fonds du Waqf-i-Jadid est dépensée dans les pays africains.

Je viens de mentionner la construction des mosquées ; il ne s’agit pas d’une tâche facile. Nous devons également faire face en tout endroit à l’opposition des adversaires, mais la communauté est en train d’entreprendre tout cela dans la voie d’Allah. Allah a promis que notre communauté progressera : c’est pour cette raison qu’Il nous aide de façon particulière.

Je souhaite mentionner un récit du Congo Kinshasa. Le missionnaire écrit : « La communauté est établie depuis deux ans dans la région de Bandoro. La mosquée est en cours de construction. Les musulmans sunnites n’ont ménagé aucun effort pour importuner les ahmadis, et pour se plaindre de nous auprès des administrations publiques locales. Lorsque aucun de leur complot n’a porté ses fruits, ils ont proféré des menaces de mort. » Les opposants n’ont eu aucun succès, et les travaux de construction de la mosquée ont continué. L’un des ahmadis qui supervise les travaux de construction sur place a déclaré : « Au cours de la construction de la mosquée, un professeur de l’université locale, qui est chrétien, nous a rendu visite, et nous a aidés pour la construction. Il aidait également les ahmadis qui amenaient du sable de très loin et pour conduire les chariots ou les brouettes. » D’un côté les opposants font tout ce qu’ils peuvent, de l’autre côté Allah nous fait aider par les non-ahmadis. C’est ainsi que les âmes nobles sont attirées.

Il y a également un récit qui nous vient du Cameroun. La majorité des habitants du quartier de Bowada Sinedj dans la ville de Douala est musulmane. Le missionnaire écrit : « La communauté y a été établie deux ans auparavant. Lorsque la construction de la mosquée avait débuté, nous avions reçu un courrier de la part de l’administrateur du quartier nous ordonnant d’interrompre les travaux de construction. Nous les avons donc interrompus. Lorsque nous nous sommes renseignés, nous avons appris que l’organisation des musulmans avait écrit au gouverneur ainsi qu’à tous les responsables concernés leur disant que cette communauté est une communauté terroriste qui n’a aucun lien avec l’islam, et qu’elle ne peut ainsi construire une mosquée. » Il s’agit de la même propagande qui est faite dans les pays musulmans ; ils envoient leurs maulvis dans ces pays pour en faire de même. Les membres de la communauté ont donc répondu en m’écrivant des lettres également et en faisant des supplications et ont en outre renforcé leurs relations. Il ajoute : « Un mois plus tard, l’administrateur nous a convoqués dans son bureau, ainsi que les responsables des différentes organisations, l’imam en chef et d’autres représentants des musulmans. L’administrateur a commencé à lire un rapport. Il a dit : « J’avais ordonné d’interrompre les travaux suite aux plaintes des musulmans, mais nous avons également demandé des rapports auprès des différentes régions du Cameroun. La communauté Ahmadiyya est une communauté internationale qui est présente dans plus de deux cents pays, et elle œuvre également au Cameroun depuis quinze ans. Cette communauté a déjà construit des mosquées à différents endroits au Cameroun. » Il a ajouté que nous faisions des activités religieuses et a également évoqué les activités humanitaires, notamment les activités de perforages pour l’accès à l’eau potable et les installations de pompes à eau. [La communauté Ahmadiyya] s’occupe des orphelins et aide les étudiants dans leur parcours scolaire. Il a en outre mentionné que la communauté a toujours condamné les organisations terroristes. Il a ajouté que la communauté enseigne la paix et la tolérance, et elle prône le jihad de la plume et pas de l’épée. Il a informé les autres de tout cela et a ajouté : « Les sultans ainsi que d’autres chefs musulmanes participent à leurs conférences. Il n’y a aucune raison d’interrompre la construction de la mosquée. Ils peuvent construire une mosquée ici aussi. » Le missionnaire a écrit : « Lorsqu’il a terminé de lire le rapport, tous les leaders des musulmans de ce quartier se sont mis debout, et ont déclaré : « Ce sont des mécréants, et nous les considérons comme tels. Vous avez préparé un rapport sans nous concerter, et nous ne l’acceptons pas. » L’administrateur s’est mis en colère et leur a dit : « Je connais mon travail, partez d’ici. » Ils se sont tus et il a dit à la communauté : « Construisez votre mosquée. »

L’impact positif créé par les services rendus par la communauté Ahmadiyya contraint toute personne sensée à la louer. Lorsqu’une chose est entreprise pour satisfaire Allah, Il envoie également une armée de personnes aidantes et ôte les obstacles posés par les opposants. Je vais également mentionner un récit qui montre comment les grâces divines augmentent.

Selon un rapport de la région du Haut Ghana occidental, lors d’une session de Tabligh, plus de soixante personnes ont prêté allégeance. Dans le village, la communauté avait une petite mosquée faite en briques de terre battue. En voyant notre progrès, les musulmans non-ahmadis ont bâti une belle mosquée en dur, tout juste devant la nôtre et ils ont essayé d’attirer nos nouveaux convertis. Les plus fragiles d’entre eux sont même partis là-bas. Par la suite, la communauté y a construit une mosquée très belle et grande. Maintenant par la grâce d’Allah, en sus de nos membres qui continuent de venir, un grand nombre de non-ahmadis s’y rend également. Notre mosquée est remplie de monde, alors que leur mosquée est vide, ou [n’est fréquentée que par] très peu de monde.

Des cours y sont également organisés quotidiennement pour l’éducation et la formation des nouveaux venus favorisant le progrès de la Jama’at par la grâce d’Allah. Il existe de nombreux exemples de ces grâces divines. Allah tient Sa parole et accomplit les promesses qu’Il a faites au Messie Promis (a.s.). Il aide à partir de l’invisible et ne cessera de le faire, Incha Allah. Il nous offre l’opportunité de dépenser pour Sa cause afin de gagner Son plaisir et mériter Ses bienfaits. Qu’Allah nous permette de les attirer. Conformément à la tradition, je vais maintenant présenter un bref rapport sur le Waqf-i-Jadid pour l’année 2021 : la nouvelle année du Waqf-i-Jadid a commencé à partir de janvier 2022. Le rapport pour l’année précédente est le suivant : par la grâce d’Allah, au cours de l’année précédente qui était la 64e année, la Jama’at a consenti à un sacrifice total de 11 277 000 livres pour le Waqf-i-Jadid, c’est-à-dire environ 11,2 millions de livres sterling. Il s’agit d’une augmentation de 742 000 livres sterling par rapport à l’année précédente. À la lumière des conditions économiques actuelles du monde, c’est une grande bénédiction d’Allah. Cette année encore, la Jama’at du Royaume-Uni occupe la première position en termes de contribution totale. Depuis que la monnaie du Pakistan a dévalué, leur position a beaucoup baissé, mais malgré cela, ils offrent d’immenses sacrifices d’après leurs capacités.

En tout cas, en termes de positions, le Royaume-Uni est premier suivi par l’Allemagne – par la grâce d’Allah le Tout-Puissant, le Royaume-Uni a fait un sacrifice important. Il y a un écart assez important entre le Royaume-Uni et l’Allemagne. En troisième position il y a le Canada, ensuite les USA, l’Inde, l’Australie, l’Indonésie, une Jama’at du Moyen-Orient, le Ghana et enfin la Belgique.

En termes de contribution par personne, les États-Unis arrivent en tête, suivie de la Suisse et enfin le Royaume-Uni.

En termes de contribution globale, les pays africains sont : le Ghana, l’île Maurice, le Nigéria, le Burkina Faso, la Tanzanie, la Sierra Leone, le Libéria, la Gambie, l’Ouganda et le Bénin en 10e position. Par la grâce d’Allah, le nombre total de contributeurs était de 1 445 000.

En termes de collection globale, les dix plus grandes Jama’ats du Royaume-Uni sont : Islamabad, Farnham, Worcester Park, Cheam South, Aldershot, Birmingham South, Walsall, Gillingham, Guildford, Ewell. Les cinq premières régions en termes de collecte globale sont Baitul Futuh en première position, Islamabad est la deuxième, suivie par la mosquée Fazl, Baitul Ihsan puis les Midlands. Les dix premières Jama’ats dans la catégorie Daftar Atfal sont Islamabad, Aldershot, puis Farnham, Roehampton, Guildford, Ewell, Mitcham Park, Baitul Futuh, Walsall et Birmingham West.

Les cinq premiers Emirats locaux d’Allemagne en termes de contribution globale sont : Hambourg, suivi de Francfort, Gross-Gerau, Wiesbaden et Dietzenbach. Le dix premières Jama’at d’Allemagne en termes de contribution est : Rödermark, Rodgau, Neuss, Rüdesheim, Mahdi-Abad, Friedberg, Hanau, Flörsheim, Frankenthal, Coblence et Nidda. En termes de collecte dans le Daftar Atfal, les cinq premières régions sont : Hambourg, Hessen Sudwesten, Taunus, Hessen Mitte, Rheinland-Pfalz.

En termes de collection globale, les émirats du Canada sont : Vaughan, Calgary, Peace Village, Vancouver, Brampton West. Les dix premières Jama’at du Canada sont : Hadeeqah Ahmad, Milton West, Bradford, Durham, Milton East, Regina, Ottawa West, Winnipeg, Hamilton Mountain, Abbotsford.

Les cinq premiers émirats dans la catégorie Daftar Atfal sont : Vaughan, suivi de Peace Village, Calgary, Toronto West, Brampton West.

Les cinq meilleures Jama’ats pour le Daftar Atfal sont : Hadeeqah Ahmad, Bradford, Durham, London, Milton West.

En termes de collection globale, les dix premières Jama’ats des États-Unis sont : Maryland, Los Angeles, Detroit, Silicon Valley, Boston, Austin, Phoenix, Syracuse, Las Vegas et Fitchburg.

Les dix premières Jama’ats dans la catégorie Daftar Atfal sont : Maryland, Los Angeles, Seattle, Orlando, Austin, Silicon Valley, Phoenix, Fitchburg, Las Vegas, Zion.

En termes de collecte de Waqf-i-Jadid d’adultes, les trois premières Jama’ats du Pakistan dans la catégorie adulte sont : Lahore, Rabwah, Karachi. La position pour les districts est : Islamabad, Faisalabad, Gujrat, Gujranwala, Sargodha, Multan, Umerkot, Hyderabad, Mirpur Khas, Dera Ghazi Khan. En termes de collecte globale, les dix premières Jama’ats sont : la ville d’Islamabad, Defense Lahore, Township Lahore, Clifton Karachi, Darul Zikr Lahore, Model Town Lahore, Gulshan Iqbal Karachi, Samanabad Lahore, Azizabad Karachi, Allama Iqbal Town Lahore.

Les trois grandes Jama’ats pour le Daftar Atfal : Lahore, Karachi et Rabwah. La position des districts pour le Daftar Atfal est : Islamabad, Sialkot, Rawalpindi, Sargodha, Faisalabad, Gujrat, Hyderabad, Mirpur Khas, Umerkot, Narowal.

Les Jama’ats qui ont fait des progrès extraordinaires sont : Drigh Road Karachi, Mughulpura Lahore, la ville de Gujranwala, Bait Al-Fazl Faisalabad, la ville de Peshawar, Delhi Gate Lahore, Kotli Azad Kashmir, Nankana Sahib.

Les dix principales provinces indiennes sont : Kerala, Jammu-Cachemire, Tamil Nadu, Telangana, Karnataka, Orisha, Pendjab, Bengale occidental, Delhi et Maharashtra. Les dix premières Jama’ats en termes de collecte sont : Hyderabad, Qadian, Kerala, Pathapiriyam, Coimbatore, Bangalore, Calcutta, Calicut, Rishi Nagar et Malayappalayam.

Les dix premières Jama’ats d’Australie sont : Melbourne Langwarrin, Castle Hill, Marsden Park, Adelaide South, Melbourne Berwick, Perth, Penrith, Adelaïde West, Logan East.

Les Jama’ats en Australie en termes de contribution des adultes sont : Melbourne Langwarrin, Castle Hill, Marsden Park, Adelaïde Sud, Melbourne Berwick, Perth, Penrith, Adelaïde Ouest, Blacktown et Canberra.

Les Jama’ats australiennes en termes de collecte d’Atfal sont : Melbourne Langwarrin, Adelaïde Sud, Melbourne Berwick, Logan East, Perth, Castle Hill, Melbourne East, Mount Druitt, Penrith et Brisbane central.

C’était là les positions des différentes Jama’ats.

Qu’Allah bénisse amplement les personnes et les biens de tous ceux qui ont consenti à ces sacrifices.


(Le site www.islam-ahmadiyya.org prend l’entière responsabilité de la publication du texte de ce sermon)

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